... Allez savoir... Encore un coup de tête!
Bon, le Suriname, pour moi, ça se résumera à la capitale: Paramaribo. Faut pas exagérer, je dois bosser un minimum quand même!...
Voilà, à Paramaribo, si vous vous placez sur la place de l'Indépendance et que vous faites un tour sur vous-même, vous voyez ça! (merci RK!)
Evidemment, vous n'êtes pas obligés de tourner sur vous-même si vous n'en avez pas envie... à ce moment-là, faites une pose devant le palais de justice, ou le palais présidentiel (qui n'est même pas habité, quel gâchis!)
Chers lecteurs, découvrons donc ensemble Paramaribo, une ville somme toute classée au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Vers le fleuve (non, cette fois, c'est pas le Maroni), on trouve le Fort Zelandia, avec de vieilles baraques, et un fort (logique!)
ça c'est la cour du fort, qui sert aujourd'hui de musée. Il y avait un hôpital, un cordonnier, des chambres... et une prison.
Ouuiiiiinnnn! Félix, laisse-moi sortir!
... Malheureusement, j'ai eu beau attendre, Mister FIF n'est pas venu arracher les barreaux de ma geôle pour me libérer... il devait être trop occupé à nager en Tasmanie... ça se paiera!...
... peu importe, je suis assez débrouillarde et j'ai pu sortir, et aller prendre l'air sur la place des palmistes version surinamaise... Si vous savez compter un minimum, vous saurez qu'il y en a carrément plus qu'à Cayenne (qui pour le coup est ridicule)...
Comme c'est bôôôôôôôô!
Un peu plus loin, on visite une église dont le parvis est fait de pierres tombales (une forme de recyclage?)... et on passe devant la mosquée et la synagogue
Marrant la proximité des 2, non?
Et à quelques rues de là, le temple chinois... que de diversité culturelle!
Y'a pas à dire, l'architecture de Paramaribo (Parbo pour les intimes) a du chien.
Alors du coup, durant ce week-end, j'ai pris mon pied...
.... en photo dans une tong géante (Ha ha, la chute! y'a quelqu'un qui s'y attendait à cette blague pourrie?)
Bon, j'ai conscience de sembler un peu pitoyable aujourd'hui, alors je continuerai mes aventures surinamaises plus tard. Ne vous faites pas de souci, contrairement aux apparences, je ne craque pas encore...